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«L’humanité est un réseau, le corps incarné une prise de Terre»

L’humanité est un réseau, le corps incarné une prise de Terre

Que veux dire « être connecté ?

La connexion au réseau des ondes conçu par les hommes à des fins matérielles correspond à une prise insérée dans un système électrique. Pas plus. Alors que la toile du dessein, tissée par l’univers, est une trame sans début ni fin. La liaison à cette toile-là, celle de la Création, s’établit par les fils du vivant, passant par un flux qui parcourt le réseau des neurones, comme le sang connecte toutes les cellules et les organes entre eux. Être connecté à celle-ci n’est pas matière à résistance ou à insistance.

Être connecté au sens sacré du terme est se laisser traverser par un souffle, sans prises et sans emprise. Alors se reconnecter c’est conduire ce flux à sa conscience. La conscience de cette connexion est la raison propre de l’existence de l’homme. L’humanité est un réseau, le corps incarné est une prise de Terre.

Être connecté participe du domaine de la supra conscience. La bande passante pour retrouver le réseau qui fait battre l’horloge de l’humanité se trouve dans une fréquence qui dépasse la matière, mais qui peut être atteinte par les battements du cœur, porte ouverte vers le réseau quantique non quantifiable. Être interconnecté est un pléonasme. La toile spatio-temporelle est là où se tisse la connexion de l’homme au-delà de l’incarnation, et se prolonge dans les communications d’états insaisissables. Vous parlez du nombre de connexions établies, mais être connecté au subtil se dénombre en qualité non en quantité. Plus riches sont les données partagées, plus riche devient le cœur, coffre-fort, unité centrale qui abrite, enregistre tout ce qui compose et meut le monde. 

La conscience de l’âme joue un rôle fondamental dans la qualité des connexions. Être connecté, pour le monde qui s’annonce, sera vivre, comprendre, ressentir ce qui nous lie et nous rapproche. Est connexe, ce qui est lié, uni et voisin. Or aujourd’hui, être connecté nous sépare de nous-même et du voisin assis en face de nous. La connexion à la machine nous isole, quand la connexion au subtil nous unit. Être connecté au subtil est une forme de connaissance, de reconnaissance non faciale, activée par d’autres codes. 

Beaucoup d’entre nous ont perdu cette voie d’accès qui passe par leur décodage dans le processeur de la glande pinéale. Le vrai code PIN – drôle d’usurpation du nom –, celui qui appartient à chacun de nous, se trouve dans cet endroit entre les hémisphères du cerveau. Le retrouver est la promesse d’accéder à la partie complète de soi, d’ouvrir la porte au SOI où les connexions sont sans limites de capacités et de mémoires, au-delà du temps et de l’espace

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